Les sex dolls robotisées font rêver : expressions faciales, voix, mouvements… Mais importer ce type de modèle n’est pas aussi simple qu’un achat en ligne classique. Entre douanes, conformité, électricité et mises à jour logicielles, il y a plusieurs pièges à éviter. Voici ce qu’il faut savoir.

Vérifie la conformité électrique

Les dolls robotisées contiennent des circuits, moteurs et parfois IA embarquée. Si elles sont fabriquées en Asie (souvent le cas), leur alimentation n’est pas toujours adaptée à l’Europe.
→ Vérifie la compatibilité de voltage (220V), le type de prise, et exige une notice en français ou anglais claire.

Anticipe les frais de douane

Importer un modèle avec composants électroniques peut entraîner :

• TVA à l’entrée sur le territoire (20 %)
• Frais de dédouanement
• Retard ou blocage si les documents manquent (certificats CE, facture détaillée)

Certaines entreprises gèrent ces frais en amont, d’autres non. Informe-toi avant de payer.

Le poids et le transport

Une sex doll robotisée peut peser jusqu’à 50 kg avec son emballage. Le transport doit être professionnel, sécurisé, et parfois assuré par des transporteurs spécialisés.
→ Privilégie les sites qui proposent une garantie de livraison sans dommages.

Mises à jour et assistance technique

Ces dolls peuvent avoir besoin de :

• Mises à jour logicielles (via USB ou connexion cloud)
• Configuration d’une app mobile
• Support en cas de bug ou problème moteur

→ Si tu commandes depuis l’étranger, as-tu un support technique accessible ?
Sinon, tu risques de rester bloqué en cas de souci.

Importer une sex doll robotisée est possible, mais réservé à un utilisateur averti. Si tu veux éviter les tracas techniques et administratifs, mieux vaut passer par un revendeur européen sérieux, quitte à payer un peu plus. Mieux vaut une expérience maîtrisée que de gérer un robot en panne dès son arrivée.