Si l’intelligence artificielle donne une voix à la sex doll, c’est la robotique qui lui donne un corps « vivant ». En 2025, les progrès en mécatronique transforment le simple mannequin articulé en compagnon partiellement autonome.

De la rigidité au mouvement fluide

Les nouveaux squelettes robotisés permettent aux dolls de bouger le cou, les bras ou le bassin avec une fluidité impressionnante. On voit apparaître des mouvements synchronisés avec les interactions vocales, ou des réactions aux gestes de l’utilisateur.

Moteurs miniatures et silence de fonctionnement

La miniaturisation des moteurs permet des systèmes internes plus discrets et moins bruyants. Les nouvelles générations de dolls peuvent bouger sans perturbation sonore, améliorant l’immersion. La gestion de la chaleur et de l’alimentation a aussi fait un bond en avant.

Postures et adaptabilité

Certaines sex dolls sont capables d’ajuster leur posture automatiquement selon les préférences entrées dans leur configuration ou selon l’interaction en cours. Le système reste limité, mais il ouvre la voie à des poupées qui s’adaptent à la situation en temps réel.

La robotique est le maillon qui rend la sex doll plus crédible physiquement. Elle ne remplace pas l’autonomie humaine, mais elle permet une nouvelle étape entre simple objet inerte et présence animée.